Mise en scène
Kenneth George
Concept
Brita Kleindienst
Dramaturgie
Marco Cupellari
Comédiens
Brita Kleindienst
Sara Bocchini
Musique originale
Dario Miranda
Masques
Brita Kleindienst
Sara Bocchini
Création lumière
Christoph Siegenthaler
Scénographie
PerpetuoMobileTeatro
Photos
Lorenzo Palmieri
Production
PerpetuoMobileTeatro
Accademia Teatro Dimitri
Soutiens
Fondation Ernst Göhner
Téléchargements
Everything is beautiful
Spectacle avec des demi-masques inspirés par les sept péchés capitaux.
Le réveil sonne. Éteindre et se rendormir. Le réveil sonne à nouveau. Rester simplement au lit et regarder les bulles de savon éclater. Faire du café. Se regarder dans le miroir : il faudrait manger moins de chocolat et arrêter de fumer. Puis la question : qu’est-ce qui ne va pas chez moi ? Et surtout : où sont ces maudites clés de porte d’entrée ?
Everything is beautiful raconte l’histoire d’une jeune femme qui, à première vue, mène une vie réglée et satisfaite. Mais un jour, elle ne parvient pas à sortir de chez elle pour aller travailler. Sept personnages étranges apparaissent soudain – l’indolence, l’orgueil, l’envie, la colère, la cupidité, la gourmandise et la luxure – dans le miroir, sous la table, dans le placard de la cuisine, dans la baignoire… Et tous ont quelque chose à dire. Au final, une question se pose : qu’est-ce qui est vraiment important dans la vie ?
Everything is beautiful est né d’une réflexion artistique sur la thématique des sept péchés capitaux. Au début du processus de création, un masque a été conçu pour chaque péché, accompagné d’un morceau de musique original. Que diraient les péchés individuels s’ils pouvaient se défendre devant un tribunal ?
Sortis de leur contexte religieux, dans lequel ils ont une signification exclusivement négative, les péchés capitaux peuvent être redécouverts comme des forces archétypales qui nous permettent d’expérimenter la vie dans sa plénitude et son imprévisibilité.
Everything is beautiful est un aperçu de l’intimité d’une crise existentielle tout à fait normale ; un regard sur les monstres cachés dans le placard et, finalement… un hymne à la simplicité complexe de la vie !